Je pensais, il y a peu, que la vieillesse était l’âge de la paix, de la réconciliation. Et je prends conscience d’un immense sentiment de révolte. Que la dictature sanitaire affecte peu les adolescents, je peux à la rigueur le comprendre car il est difficile à cet âge d’accepter de vivre avec tous ces interdits et la désinformation globale sur les pseudos vaccins les empêche de réfléchir et de choisir. Qu’elle influence aussi les vieux se comprend aussi car la docilité et l’obéissance à l’ordre établi les caractérisent -sans omettre la peur de la mort ; on ne se révolte plus, « c’est plus de notre âge ».
Alors il me reste Camus et « s’il n’en reste qu’un, je serai celui-là ».
Or je viens d’apprendre une autre cause de révolte, d’indignation :
Nos gouvernants, trouvant que la vaccination des 5 – 11 ans avait peu de succès, vient d’annuler ses préconisations initiales en autorisant que l’accord d’un seul parent sera suffisant mais surtout que pour l’acte d’être vacciné, l’enfant pourra être accompagné d’une tierce personne.
C’est pour moi, le sommet du scandale et je jure de ne pas aller voter en avril si aucun candidat ne s’insurge contre cette loi inique.
C’est triste pour moi d’arriver à mon âge et de devoir me révolter encore contre quelque chose qui m’a toujours poussé à agir : la violence faite aux enfants.