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Deux ou trois choses que nous ne savons peut-être pas quant à l’infiltration de la pédophilie dans les plus grandes institutions mondiales.

D’abord, deux mots sur Kinsey, ce scientifique (entomologiste) auto-proclamé sexologue et ce qu’en dit Wikipedia.

« L'Institut Kinsey (The Kinsey Institute for Research in Sex, Gender, and Reproduction) est un organisme de recherche sexologique américain, fondé par Alfred Kinsey en 1947 comme établissement associé à l'université de l'Indiana à Bloomington (université de l'Indiana)

Historique

Les origines de l'Institut Kinsey se trouvent dans les recherches scientifiques d'Alfred Kinsey, professeur et entomologiste de l'Université de l'Indiana devenu chercheur en sexualité. La création en 1947 de l'institut à but non lucratif, initialement nommé Institute for Sex Research (ISR), a été soutenue par le président de l'Université de l'Indiana, Herman B Wells, et la Fondation Rockefeller, un important bailleur de fonds de la recherche de Kinsey. L'ISR a été créé pour protéger et préserver la confidentialité des données et des documents de recherche de Kinsey en créant un référentiel sécurisé et permanent pour eux.

Mission

Selon ses statuts, sa mission est « de promouvoir l'étude de la sexualité humaine, tant sur le plan de la santé qu'au niveau des savoirs, et ce, à un niveau mondial ». Ce centre, reconnu d'utilité publique par l'ONU, dispose d'une importante bibliothèque et de l'une des plus grandes bases de données sur ces questions. Il contribue à former des chercheurs, organise des colloques et soutient de nombreux travaux et publications. L'Institut Kinsey réalise notamment des études annuelles intitulées Singles in America ».

 

Et Wikipedia, outil de Google donc instrumentalisé par la CIA, omet tout simplement de dire que Kinsey, pour établir ses pseudo scientifiques théories sexuelles, a perpétré des actes sexuels sur des enfants et des bébés, comme de les masturber et de provoquer sur ces bébés des spasmes en affirmant que c’étaient des orgasmes. C’est donc un criminel sur qui s’appuient des soi-disant sexologues mais qui, plus gravement, inspire l’OMS (dont on connaît aujourd’hui les ravages produits dans la récente pandémie tout en annonçant une suivante) et qui infiltre les autorités de l’Union Européenne, mais pas seulement.

https://plateformejonas.fr/wp-content/uploads/2020/09/11394-Collusion-entre-l%E2%80%99institut-Kinsey-et-lONU.pdf

En effet, on trouve des références à Kinsey dans les projets des organismes tels que L’International Planned Parenthood Federation (IPPF) Réseau mondial de 151 associations. Le Planning Familial Français est membre depuis 1960 de cette première ONG du monde dans ce secteur.

Cette IPPF produit des documents qui font une large place aux droits de la femme et c’est bien normal, mais se glissent dans leurs textes quelques phrases un peu suspectes, telles : «Toute personne doit avoir accès à une information sur la sexualité au sein de sa communauté, à l’école comme auprès des professionnels de la santé »  ou encore « Les jeunes, qui sont souvent exclus, doivent avoir le droit d’être les participants et acteurs du changement au sein de leur société. Ils doivent disposer de moyens substantiels afin de contribuer au développement de politiques et programmes visant à protéger, promouvoir et satisfaire la santé et les droits en matière de sexualité et de reproduction ». On aimerait savoir à quel âge on est supposé être jeune car la notion même de « droits sexuels » manque singulièrement de précision ; flou juridique que l’on retrouve dans la notion de « discernement ».

Pire : l’Union Européenne prétend imposer à tous les états européens un mode unique d’éducation sexuelle, reposant essentiellement sur les préconisation états-uniennes tout droit issues de concepts inventés par Kinsey.

En France, redoutant sans doute des réticences voire un refus des enseignants, l’UE à demandé au ministère de la santé la création d’un site. https://www.onsexprime.fr/Tous-les-programmes

Certes, bien des parents, malhabiles en termes de conseil en sexologie envers leurs enfants, seront bien soulagés de savoir que cette tâche, qui devrait leur incomber, sera assumée par un site officiel gouvernemental. Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain et certes ce site a son utilité ; mais plusieurs objections :

Ce site où est clairement question d’expliquer, croquis à l’appui, ce que sont fellation, sodomie, cunni, etc. est accessible sans restriction d’âge ; donc les enfants d’âge tendre auront accès à cette étrange (et non définie juridiquement) notion de droits sexuels et surtout pourront nourrir leur imaginaire de positions et techniques sexuelles variées. Le problème est que rien pourtant ne les empêchera d’aller consulter avec leur smartphone toutes les vidéos porno possibles. Or dans ce domaine, les autorités sont d’un laxisme coupable depuis bien des années. S’est-on demandé pourquoi ? Cui prodest, à qui profite ?

Donc ces mêmes autorités, sous couvert de donner accès à toutes personnes (c’est-à-dire y-compris des enfants) à une connaissance de la sexualité adulte. Il y a peut-être une bonne intention, mais c’est pour moi criminel d’expliquer à des « jeunes », croquis à l’appui, comment pratiquer une fellation en évitant toute contagion par une IST, ou faire une sodomie en utilisant un lubrifiant. C’est pour moi la base de la pédophilie, ce dont a fort bien traité cet immense psychanalyste hongrois, Sandor Ferenczi qui dénonce cette confusion des langues entre adulte et enfant qui est tragique dans le développement psychosexuel de l’enfant. Mais sous couvert de donner un accès au sexuel adulte non pollué par la pornographie, le résultat est une banalisation du sexe par un discours qui se veut soft, genre : « on veut bien et on comprend que vous soyez poussés à aller voir du porno par une curiosité bien naturelle, mais nous allons vous apprendre le b.a. ba. L’intention est respectable mais le but est scandaleux ; on peut trouver là une forme d’injonction paradoxale : « ne vous excitez pas, ne cherchez pas votre vérité sur Pornhub, écoutez-nous, on va tout vous dire ».

Pour résumer : faire l’amour ne peut et ne pourra jamais s’enseigner et surtout, dans cette sorte de vulgarisation du sexuel, essayez de trouver une réponse à la question du désir. Moi je ne l’ai pas trouvée ! Pire : la pornographie a tellement envahi notre société qu’un adolescent va trouver normal d’exiger une fellation de sa copine de classe et celle-ci va redouter de passer pour ringarde si elle s’y refuse.

Des sites, sous couvert d’éducation aux « droits sexuels », vont pervertir des générations d’enfants bien  autant que les vidéos porno. Parents, protégez vos enfants, parlez-leur quand vous en sentez la demande de sexualité.

A lire:

Ariane Bilheran: L'imposture des droits sexuels

Jacques Thomet: La pédocratie à la française

Georges Nemtchenko: Que dire, ou pas, de la sexualité à mes enfants

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